Portrait

De l’ICP à l’Assemblée nationale : le parcours ambitieux de Laura en politique

Étudiante en 3e année de licence Histoire – Science politique à l’ICP, Laura a concrétisé sa passion en un parcours étudiant ambitieux. Entre stages à l’Assemblée nationale, projets professionnalisants et engagement associatif, découvrez comment cette étudiante de l’ICP se forge un avenir en communication politique.

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Pourquoi avoir choisi d’intégrer la licence Histoire, parcours Histoire - Science politique à l’ICP ?

Originaire de La Réunion, j’ai rejoint Paris pour mes études après avoir obtenu un baccalauréat spécialités HGGSP et HLP. Passionnée par la Science politique, j’ai choisi d’intégrer la licence Histoire, parcours Histoire – Science politique de l’ICP.
  
Suivre cette formation me permettait d’étudier à la fois la Science politique et l’histoire, deux domaines qui m’attiraient particulièrement. J’ai également été séduite par le cadre d’apprentissage, la taille des promotions et la qualité de l’accompagnement, qui font la renommée de l’ICP. Je n’ai pas été déçue puisque dès la première année, j’ai pu compter sur mes enseignants pour préciser mes objectifs et construire mon projet professionnel.

Quelles activités avez-vous menées pour renforcer votre profil professionnel ?

J’ai profité de la richesse de la vie étudiante de l’ICP pour devenir responsable communication de l’association TEDxICP, qui organise des conférences d'experts sur toutes sortes de sujets. Cet engagement m’a permis de développer des compétences professionnelles, en prenant des responsabilités et en menant un projet concret.
  
Mes enseignants m’ont permis de discerner le domaine qui me passionne et dans lequel je souhaiterai travailler. Je me suis donc spécialisée en communication politique appliquée au monde de l’éducation.
  
Cela m’a permis de tout de suite lancer des projets en lien avec cette spécialité. En première année de licence, j’ai créé le podcast « Dans les coulisses de l’enseignement ». Chaque mois, je reçois un invité du secteur de l’éducation — enseignants, administrateurs, conseillers pédagogiques, ou autres professionnels — pour discuter de leurs expériences, de leurs défis, et de leurs réussites… Cela m’a permis notamment d’interviewer Anne Genetet, députée française et membre de la commission des affaires culturelles et de l’éducation.
  
En deuxième année de licence, j’ai lancé le journal « En coulisses, Podcast et Journal ». Accessible en ligne sur LinkedIn, il offre chaque mois un regard historique et culturel sur le secteur éducatif.
  
Tous ces projets me permettent d’avoir un parcours cohérent autour de la politique dans le milieu de l’éducation qui, j’espère, me permettra de me distinguer auprès des recruteurs.

Vous avez aussi réalisé deux stages à l'Assemblée nationale, comment se sont déroulées ces expériences ?

J’ai effectué un stage d’observation aux côtés de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, puis de la vice-présidente Naïma Moutchou, qui est devenue aujourd’hui ministre des Outre-mer.
  
Dès le premier jour, j’ai été impressionnée par l’exigence et le rythme de ce milieu. On m’a progressivement confié des missions très variées : recherche documentaire, rédaction de notes pour le gouvernement, gestion des demandes des citoyens et veille médiatique. J’ai également eu l’opportunité de rencontrer de nombreuses personnalités politiques et ainsi étendre mon réseau professionnel.

Qu’avez-vous retiré de ces expériences ? Ont-elles impacté vos projets futurs ?

Ces stages m’ont permis d’acquérir des compétences professionnelles essentielles notamment en matière de comportement, de posture, ainsi que de communication orale et écrite. Ces compétences sont essentielles en politique car, en travaillant pour une personnalité, on en devient le représentant. Ils m'ont ainsi permis d’adopter les codes professionnels propres au secteur de la politique, indispensables pour envisager une carrière dans ce milieu.
  
Toutes ces expériences menées en parallèle de mon cursus ont confirmé ma volonté de travailler dans la communication politique. Après ma licence, j’aimerai intégrer un master spécialisé en communication politique ou en affaires publiques, comme le Master Communication des organisations, Métiers de la communication corporate, politique et numérique proposé par l’ICP. Avec toutes ces expériences, j’ai mis toutes les chances de mon côté pour y parvenir.
  
Publié le 15 décembre 2025 Mis à jour le 15 décembre 2025

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